Quelques points sont à voir :

    Changement batterie

    Changement des Harnais

    Contrôle Extincteur habitacle

    Contrôle radio et casques (voire achat intercom)

    Changement cable embrayage

A part ça rien de prévu mis à part les contrôles de base ...

Il reste à constituer l'équipe d'assistance... Avis aux volontaires

Le rallye s'est déroulé... avec des péripéties comme d'habitude, mais pas les mêmes.  Les problèmes ont commencés aux vérifs. Un plein d'essence un peu trop copieux et la pompe à essence se retrouve noyée. A deux minutes du contrôle, la voiture ne démarre plus.... Ca part très fort. Trois rouleaux de sopalin plus tard, la 306 démarre...

Mais les problèmes surgissent dès le départ le lendemain : Pneus neufs, gonflé à la pression préconisée par le vendeur, la voiture se révèle assez instable. En fait, l'arrière à une furieuse envie de passer devant ! et pourtant la route est sèche... ce qui ne va pas durer !

Mais ne brulons pas les étapes, il y a encore de quoi dire : la première spéciale nous offre une belle surprise. Un camping car au milieu de la route et plein de monde autour ! Bizarre tout ça : le temps que tout le monde s'écarte pour nous laisser passer, on réalise alors qu'on a dépassé l'arrivée de la spéciale depuis bien 500 mètres et que le camping car avec les gens autour, c'est juste les personnes du pointage avec un peu de spectateurs : en fait, on a quand même fait une belle conn... en partant du principe que la spéciale était identique à celle de 2011. Elle a juste été un peu raccourcie, ce qui nous a fait arriver un epu (beaucoup !) trop vite au pointage ! On a pris un belle brasse... bien méritée !

Fort de ce début de rallye très chaotique avec nos pneus toujours surgonflés, on se pointe sur la deuxième spéciale. un kilomètre après le départ, un bon orage nous surprend ( et surprend MétéoFrance qui n'avait rien prévu à ce niveau là) et ce qui était compliqué à Marsanne sur route sèche devient franchement infaisable à Comps sur route trempée.  Deux têtes à queue "sans frais" (autre que le chrono) plus tard, on arrive au bout tant bien que mal mais sans casse ( environ 4 minutes de retard déjà au classement !) .

Il nous reste alors à finir la première boucle par le Colombier dans le sens de la descente avec des pneus secs surgonflés sur route mouillées : un poème ! Autant dire que quand on rentre à l'assistance après avoir vendangé le classement après seulement un tiers du rallye, c'est un peu difficile de repartir l'après-midi.

Après la pause de midi, un changement de pneus et un retour à des pressions plus habituelles et un soleil de plomb qui a largement séché la route, les spéciale de l'après-midi se passent beaucoup mieux même si il n'y a plus grand chose à gagner.  0 notre niveau, on peut perdre du temps mais jamais en gagner...